et leurs-reprises. Cette somme de 24,600 livres, devait, disait-on, sauver M. d'Epinay ;• aujour-' d'hui, il en' demande 3o,ooo. Ces trénte'ne lé sauveraient pas plus que les vingt-quatre ne Pont fait.-'Mais, touchés'de sa situation, ses enfants, sa famille et'sa femme,-ne pouvant le voir sans une peine-mortelle dans les détresses où il est, ni voir les frais journaliers qui augmentent la masse :de ses dettes, ont projeté de le secourir; mais, ne voulant faire que des sacrifices utiles et ne risquer leurs avances que sur la vie'de'M. d'Epinay et non sur sa conduite.;.ils ont-tous des enfants'et ne • .peuvent pas''se permettre de ise dépouiller saris les plus;grândes sûretés. Mi d'Epinay n'en'peut don­ner-,'quelque forme qu'on y mette,.sans l'interdic­tion.-Ils l'ont demandée.; c'est'le-désir, .de' le
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secourir qui-rai t y- avoir recours. Elle n'est pas
plusv. humiliante qu'un'conseil.-M. d'Epinay y avait: consenti,' .on demande qu'elle soit pronon­cée;.; Si élie ne l'est pas, ce. sera trés> malheureux pour M. d'Epinay, car sa famille ni ses enfants ne pourront venir à son secours ' et .n'y viendront sûrement pas, quelque désir qu'ils eh aient. Ils sont dans une situation très gênée ; menacés de la